This online library provides resources from the Right to Education Initiative as well as from other partner organisations. You can filter relevant resources by topic, region, country, content type and language. Note that resources in other languages will be available soon.

See also our list of useful databases for information on the implementation of the right to education at national level.

Key resource

L’Enseignement Supérieur français est-il vraiment accessible à toutes et tous, sans discrimination ? Quels sont les impacts de la privatisation croissante de l’Enseignement Supérieur sur le droit à l'accès à l’enseignement supérieur et à un enseignement de qualité pour toutes et tous ? 

Le présent document se focalisant sur l’impact des inégalités en fonction du lieu de résidence des étudiant·e·s, des coûts indirects des études et de la privatisation dans la réalisation du droit à l’Enseignement Supérieur en France, il illustre les défis liés à la réalisation du droit à l’Enseignement Supérieur, y compris pour un pays comme la France, qui pourrait, a priori, être considéré comme un exemple.  Un éclairage est fait sur les obligations juridiques de la France et ses éventuels manquements, notamment au regard du financement de l’Enseignement Supérieur.

ENGLISH

Key resource

Is French Higher Education truly accessible to all, without any discrimination? What are the impacts of the privatization of Higher Education on the right to equal access to Higher Education and quality education for all?

Focusing on the impacts of inequalities based on place of residence, indirect study costs and privatization on the implementation of the right to Higher Education in France, this document illustrates the challenges related to the realization of the right to higher education. Overcoming these hurdles for a country like France could, a priori, be held up as an example to others.  Lastly, this report highlights France’s legally binding obligations and potential infringements, especially with regard to its role in financing the Higher Education system.

 

FRANÇAIS

This short briefing note addresses the concepts of 'merit' and 'capacity' in relation to higher education from a human rights perspective.

Key resource

This background paper prepared for the Global Education Monitoring Report on non-States' actors in education: Who chooses? Who looses? provides both the rationale and the framework for re-centring a human rights’ perspective in education sector analysis. It draws on international human rights law as specified in the recently adopted Abidjan Principles on the human rights obligations of States to provide public education and to regulate private involvement in education, a landmark text for the interpretation of the right to education, in particular in the context of growing privatisation in and of education. The paper outlines how to use the Abidjan Principles to develop a tool to measure if and how States are implementing and individuals are enjoying those rights, with a specific focus on the role of non-State actors. We find that reframing education analysis through a human rights lens provides a sharp contrast to the narrow view of education as a human capital generator. Using the human rights framework of structures, processes, and outcomes, we not only detail questions which can guide future research and advocacy, but also demonstrate its use in evaluating data availability and sector plans in the United States and Côte D’Ivoire and re-evaluating existing conclusions from “The Role and Impact of Private Schools in Developing Countries” (Day Ashley et al., 2014). 

Dans le présent rapport, le Rapporteur spécial sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, Olivier De Schutter, constate que les enfants nés dans des familles défavorisées ne peuvent prétendre à l’égalité des chances : les perspectives qu’ils ont de jouir d’un niveau de vie décent à l’âge adulte sont en effet considérablement réduites du simple fait que leurs parents sont pauvres.

Le Rapporteur spécial examine les mécanismes qui perpétuent la pauvreté dans les domaines de la santé, du logement, de l’éducation et de l’emploi. La montée des inégalités est en soi un facteur déterminant : plus les sociétés sont inégales, moins elles permettent la mobilité sociale, et la répartition inégale des richesses a un effet particulièrement dévastateur à cet égard. Nous pouvons parfaitement mettre fin au cercle vicieux de la pauvreté. La solution, pour ce faire, passe par des investissements dans les secteurs de l’éducation et de la protection de la petite enfance, ainsi que dans l’éducation inclusive, par l’instauration d’un revenu minimum universel pour les jeunes combinée à une hausse des droits de succession, et par l’interdiction de la discrimination fondée sur les désavantages socio-économiques.

Les personnes en situation de pauvreté font face à une discrimination généralisée dans des sociétés où la ségrégation par la richesse reste très marquée ; aussi des mesures de nature systémique s’imposent-elles pour surmonter les divisions héritées du passé.

 

ENGLISH   ESPAÑOL

En el presente informe, el Relator Especial sobre la extrema pobreza y los derechos humanos, Olivier De Schutter, observa que a los niños nacidos en familias desfavorecidas se les niega la igualdad de oportunidades: sus posibilidades de alcanzar un nivel de vida decente en la edad adulta disminuyen considerablemente por el mero hecho de que sus padres sean pobres. El Relator Especial examina los canales a través de los cuales se perpetúa la pobreza, en los ámbitos de la salud, la vivienda, la educación y el empleo.

El propio aumento de las desigualdades es un factor importante: cuanto más desiguales son las sociedades, menos permiten la movilidad social, y las desigualdades de riq ueza son especialmente corrosivas en ese sentido. Acabar con los círculos viciosos de la pobreza está a nuestro alcance. Las inversiones en educación y atención a la primera infancia, la educación inclusiva, la provisión de una renta básica universal para los jóvenes, combinada con una mayor fiscalidad de las herencias, y la prohibición de la discriminación por motivos de desventaja socioeconómica son fundamentales para romper los ciclos que perpetúan la pobreza. Las personas en situación de pobreza se enfrentan a una discriminación sistémica en sociedades que siguen estando profundamente segregadas por la riqueza: esto exige remedios sistémicos para superar las divisiones heredadas.

 

ENGLISH  FRANÇAIS

This report, presented to the 76th session of the General Assembly in October 2021, examines the channels through which poverty is perpetuated, in the areas of health, housing, education and employment. The growth of inequalities itself is an important contributing factor: the more unequal societies are, the less they allow for social mobility. The report argues that ending the vicious cycles of poverty is within reach. Investments in early childhood education and care, inclusive education, the provision of a universal basic income for young people combined with an increased taxation of inheritance, and the prohibition of discrimination on grounds of socioeconomic disadvantage are key to breaking the cycles that perpetuate poverty. People in poverty face systemic discrimination in societies that remain deeply segregated by wealth: this calls for systemic remedies to overcome inherited divisions.

It features sections on the right to education in relation to poverty, including the right to early childhood care and education, and higher education. 

 

ESPAÑOL   FRANÇAIS

 

Dans le présent rapport, soumis en application des résolutions 8/4 et 44/3 du Conseil des droits de l’homme, la Rapporteuse spéciale sur le droit à l’éducation examine les risques et les avantages que présente l’introduction du numérique dans l’enseignement, et ses incidences sur le droit à l’éducation.

La Rapporteuse spéciale y préconise que les débats concernant l’introduction des technologies numériques dans l’éducation s’articulent autour du droit de chacun à un enseignement public, gratuit et de qualité ainsi que des engagements pris par les États à cet égard au titre du droit international des droits de l’homme et de l’objectif de développement durable 4.

En particulier, la mise en œuvre du droit à l’éducation doit répondre aux besoins qu’a toute personne d’accéder aux technologies, de les maîtriser et de les utiliser en ce qu’elles représentent un outil d’autonomisation permettant de participer activement à la société. L’introduction du numérique dans l’enseignement devrait être orientée vers une meilleure mise en œuvre du droit à l’éducation pour tous, lorsqu’il est avéré qu’elle apporte une importante valeur ajoutée. À cet égard, il importe de comprendre les objectifs de profit que poursuivent les groupes de pression et les entreprises du secteur numérique. Par ailleurs, il ne faudrait pas que cette évolution creuse les inégalités et profite uniquement à des pans de la société déjà privilégiés, ni qu’elle entraîne des atteintes à d’autres droits de l’homme dans le contexte de l’éducation, en particulier le droit à la vie privée.

 

ENGLISH   ESPAÑOL

In the present report, submitted pursuant to Human Rights Council resolutions 8/4 and 44/3, the Special Rapporteur on the right to education addresses the risks and opportunities of the digitalization of education and their impact on the right to education.

The Special Rapporteur calls for discussions relating to the introduction of digital technologies in education to be framed around the right of every person to free, quality, public education and the commitments of States in this regard under both international human rights law and Sustainable Development Goal 4.

In particular, the implementation of the right to education must respond to the needs of all persons to access, master and use technology as an empowering tool for being active members of society. The digitalization of education should be geared towards a better implementation of the right to education for all, where it is demonstrated that it brings a significant added value. In this regard, it is important to understand the profit-driven agenda of digital technology lobbyists and companies. In addition, the digitalization of education should not increase inequalities and benefit already privileged segments of societies only or lead to violations of other human rights within education, in particular the right to privacy.

 

FRANÇAIS    ESPAÑOL

Pages