In countries across the globe from Afghanistan to Colombia to India to Mali to Turkey to Yemen and on, students, teachers, and educational facilities are under siege. Targeted killings, rape, abduction, child recruitment, intimidation, threats, military occupation, and destruction of property are just some of the ways in which education is being attacked.
Between 2013 and 2017, there were more than 12,700 attacks, harming more than 21,000 students and educators in at least 70 countries. In 28 countries profiled in this report, at least 20 attacks on education occurred over the last 5 years.
Este documento enumera los instrumentos internacionales que protegen el derecho a la educación en situaciones de emergencia.
Attacks on education by the insurgent group Boko Haram have caused horrific and long-term suffering for female students and teachers in northeastern Nigeria. Boko Haram has abducted over 600 girls and young women from school during the nine-year conflict, with some held in captivity for years, and many experiencing harmful repercussions long after they return home.
The 106-page report, “‘I Will Never Go Back to School’: Impact of Attacks on Education for Nigerian Women and Girls,” is based on interviews with 119 victims and eyewitnesses of attacks on schools and education, including survivors of the three largest school abductions in Nigeria: Chibok (April 2014), Damasak (November 2014), and Dapchi (February 2018). Women and girls speak out about their terrifying experiences, including forced conversion to Islam, forced “marriage,” rape, and other physical and psychological violence, in the report.
A human rights analysis of schools reopening in England on 1 June 2020 after their closure due to the Covid-19. An Advisory Note to Independent SAGE.
Ce rapport est consacré à la question du financement national de l’éducation de base. Il passe en revue les obligations de financement de l’éducation des États en vertu des droits de l’homme et fournit des exemples concrets de cadres juridiques nationaux qui garantissent un financement national. Le rapport contient également une mise à jour sur l’éducation dans les situations d’urgence, conformément à la résolution 64/290 de l’Assemblée générale. Le Rapporteur spécial souligne que l’attention et les financements accordés à l’éducation dans les situations d’urgence continuent d’être insuffisants et inadaptés. Il demande un accroissement des investissements dans l’action préventive et l’amélioration de la protection de l’éducation lors des conflits armés.
Dans le présent rapport, la Rapporteuse spéciale examine les différentes façons dont le droit à l’éducation contribue à prévenir les atrocités criminelles ainsi que les violations graves ou massives des droits de l’homme. La Rapporteuse spéciale soutient que l’éducation peut jouer un rôle essentiel à tous les stades de la prévention et souligne le pouvoir préventif particulièrement fort du droit à l’éducation tout au début du processus, avant même que les signaux de danger puissent être détectés. Ce rôle doit être associé aux objectifs de l’éducation et au droit à une éducation équitable, inclusive et de qualité, tel qu’ils sont consacrés par les instruments internationaux.
La Rapporteuse spéciale, après avoir décrit les circonstances dans lesquelles les écoles peuvent diviser au lieu de rassembler et préparer ainsi la voie aux conflits violents futurs, présente un nombre de mesures touchant l’organisation des systèmes scolaires, la pédagogie ainsi que les valeurs et les compétences à transmettre aux élèves, qui sont essentielles pour favoriser la prévention. Elle propose un cadre d’éducation (mieux connu en anglais sous le nom de « cadre ABCDE »), qui rassemble l’ensemble des caractéristiques nécessaires pour réaliser pleinement tout le potentiel préventif du droit à l’éducation.