Ce rapport porte sur le droit à l’enseignement supérieur et interroge le respect par la France de ses obligations concernant l'article 2.2 et l'article 13.2 (c) du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC).
Il est basé sur un projet de recherche de cinq ans développé par l'Initiative pour le droit à l'éducation (RTE) en collaboration avec des étudiant·e·s de la Clinique de droit de Sciences Po (Paris) et des chercheur·e·s de l'Université de Genève, de l'Université d'Orléans et de l'ENS Paris Saclay
Notre rapport souligne que les politiques publiques, visant à réduire les inégalités dans l'accès à l'enseignement supérieur, mises en œuvre par le gouvernement français depuis la dernière revue périodique, sont insuffisantes et doivent être renforcées et étendues. Il soutient que les inégalités structurelles, territoriales et socio-économiques ainsi que la politique de financement de l'enseignement supérieur de l'État entravent l'égalité et la non-discrimination dans l'accès à l'enseignement supérieur et renforcent la tendance à la privatisation.
UNESCO together with UNICEF, the World Bank, UNFPA, UNDP, UN Women and UNHCR organised the World Education Forum 2015 in Incheon, Republic of Korea, from 19 – 22 May 2015, hosted by the Republic of Korea. Over 1,600 participants from 160 countries, including over 120 Ministers, heads and members of delegations, heads of agencies and officials of multilateral and bilateral organisations, and representatives of civil society, the teaching profession, youth and the private sector, adopted the Incheon Declaration for Education 2030, which sets out a new vision for education for the next fifteen years.
School meals play a critical role in children’s lives. They are an essential intervention in development and humanitarian contexts, proven to have long-lasting impacts across multiple Sustainable Development Goals and sectors, including food security, nutrition and health, education, water and sanitation, child protection, gender equality, and prevention of sexual exploitation and abuse. They are at the juncture of the right to food, the right to health and the right to education. They also offer enormous potential for the catalysation of food systems, with nutritious, locally-grown and appropriate foods, creation of jobs and contributions towards livelihoods, among other benefits. Civil society organisations have an essential role to play in supporting school meals programmes globally through collective advocacy, technical assistance, capacity sharing and fostering partnerships.
This joint statement contains our calls to action for equitable access to healthy and nutritious, sustainably sourced school meals.
Le rôle des acteurs non étatiques ne se limite pas à la prestation de services éducatifs, il s’étend aussi aux interventions menées à différents niveaux d’éducation et au sein de diverses sphères d’influence. Parallèlement à son examen des progrès accomplis en vue de la réalisation de l’ODD 4 – examen qui porte notamment sur les nouvelles données probantes relatives à l’impact de la pandémie de COVID-19 – le Rapport mondial de suivi sur l’éducation 2021/2 exhorte les gouvernements à considérer l’ensemble des établissements, des élèves et des enseignants comme faisant partie d’un système unique. Les normes, les données, les mesures incitatives et la redevabilité doivent aider les gouvernements à protéger, à respecter et à faire valoir le droit à l’éducation de tous, tout en gardant à l’esprit les privilèges et l’exploitation. Si l’enseignement financé par des fonds publics ne doit pas nécessairement être dispensé par le système public, les disparités des processus éducatifs, les résultats des élèves et les conditions de travail des enseignants doivent toutefois être abordés. Plutôt que d’être protégées à tout prix par le secret commercial, l’efficacité et l’innovation devraient être diffusées et pratiquées par tous. Pour y parvenir et faire barrage aux intérêts particuliers, il convient de préserver la transparence et l’intégrité des processus d’élaboration des politiques publiques relatives à l’éducation.
L’appel au ralliement du Rapport – Qui décide ? Qui est perdant ? – invite les décideurs à remettre en question leurs relations avec les acteurs non étatiques au regard de leurs choix fondamentaux : entre la liberté de choix et l’équité ; entre l’encouragement des initiatives et la définition de normes ; entre des groupes de population aux moyens et besoins différents ; entre leurs engagements immédiats souscrits dans le cadre de l’ODD 4 et ceux qui doivent être réalisés progressivement (par exemple, l’éducation postsecondaire) ; ainsi qu’entre l’éducation et d’autres secteurs sociaux.
Non-state actors’ role extends beyond provision of schooling to interventions at various education levels and influence spheres. Alongside its review of progress towards SDG 4, including emerging evidence on the COVID-19 pandemic’s impact, the 2021/2 Global Education Monitoring Report urges governments to see all institutions, students and teachers as part of a single system. Standards, information, incentives and accountability should help governments protect, respect and fulfil the right to education of all, without turning their eyes away from privilege or exploitation. Publicly funded education does not have to be publicly provided but disparity in education processes, student outcomes and teacher working conditions must be addressed. Efficiency and innovation, rather than being commercial secrets, should be diffused and practised by all. To that end, transparency and integrity in the public education policy process need to be maintained to block vested interests.
The report’s rallying call – Who chooses? Who loses? – Invites policymakers to question relationships with non-state actors in terms of fundamental choices: between equity and freedom of choice; between encouraging initiative and setting standards; between groups of varying means and needs; between immediate commitments under SDG 4 and those to be progressively realized (e.g. post-secondary education); and between education and other social sectors.
La educación superior forma parte del derecho a la educación y está protegido por el derecho internacional de los derechos humanos. Esto significa que los Estados tienen la obligación de proteger, respetar y hacer realidad el derecho a la educación superior y que hay formas de hacerles rendir cuentas por las violaciones o privaciones del derecho a la educación superior. El derecho internacional de los derechos humanos establece que la educación superior debe ser accesible a todas las personas por igual, sin discriminación, en función de la capacidad. Esto debe lograrse por todos los medios apropiados y, en particular, mediante la introducción progresiva de la enseñanza gratuita.
Sin embargo, a pesar de un amplio marco jurídico internacional que garantiza el derecho a la educación superior sin ningún tipo de discriminación y un amplio compromiso político para promover la inclusión en la educación superior, persisten importantes desigualdades, tanto en el acceso a la educación superior como en el acceso a las titulaciones y programas más gratificantes desde el punto de vista social. Cuestiones como la privatización de la enseñanza superior y el aumento de las tasas académicas representan una amenaza para la igualdad de acceso y participación en la enseñanza
superior, especialmente en contextos en los que persisten las desigualdades sociales estructurales, como las desigualdades de clase, de género o territoriales. Además, ciertos grupos –como las minorías étnicas, raciales y religiosas, así como las personas inmigrantes, refugiadas o solicitantes de asilo— siguen estando ampliamente infrarrepresentados en la enseñanza superior en comparación con su proporción en el conjunto de la población.
Estos y otros muchos retos relacionados con el acceso y la participación en la educación superior pueden salir a la luz cuando supervisamos cuidadosamente el derecho a la educación superior. Solo mediante el seguimiento del derecho a la educación superior se pueden diseñar leyes y políticas adaptadas que aborden las desigualdades y discriminaciones persistentes.
Esta guía propone un enfoque basado en los derechos humanos para las desigualdades relativas al acceso y la participación de las y los estudiantes en la educación superior. El replanteamiento del análisis de la educación a través de la lente de los derechos humanos contrasta fuertemente con la visión reducida de la educación como generadora de capital humano.
El seguimiento de los derechos humanos es útil para abordar las desigualdades y las discriminaciones en el acceso y la participación en la educación superior porque permite evaluar la realización del derecho a la educación en un contexto determinado, así como las lagunas en la legislación y las políticas que protegen este derecho. El seguimiento le ayudará a identificar e investigar el grado de realización del derecho a la educación superior, especialmente en lo que respecta a la obligación de los Estados de proporcionar un acceso igualitario, en función de la capacidad, sin discriminación. En última instancia, el seguimiento del derecho a la educación superior le proporcionará el análisis jurídico y fáctico que le permitirá responsabilizar a los Estados en caso de privaciones y violaciones del derecho a la educación superior.
Le présent rapport de la Rapporteuse spéciale sur le droit à l’éducation, Farida Shaheed, est soumis à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de la création du mandat relatif au droit à l’éducation. Dans son rapport, la Rapporteuse spéciale passe en revue les résultats obtenus dans le domaine du droit à l’éducation et expose la manière dont on conçoit ce droit et les obligations qui en découlent, ainsi que les questions contemporaines et nouvelles dont il convient de tenir compte pour garantir le droit à l’éducation pour tous, aujourd’hui et à l’avenir.
Este informe de la Relatora Especial sobre el derecho a la educación, Farida Shaheed, se presenta con ocasión del 25º aniversario del establecimiento del mandato sobre el derecho a la educación. En su informe, la Relatora Especial examina los logros realizados en este ámbito, cómo se entiende el derecho a la educación y las obligaciones que conlleva, así como cuestiones tanto contemporáneas como emergentes que deben tenerse en cuenta para garantizar el derecho a la educación para todos, hoy y en el futuro.
يق دم هذا التقرير الذي أعدته المقررة الخاصةة ةم الم نيم قالي لت الت يري لريدة ،ةة ةاسدي قمنا ةة ة م الذكرى السةة ةنويم الخامسةة ةم وال اةة ةرين ناةة ةاة الوحيم المت قم قالي لت الت يرة وتقدم المقررة الخاصةة ةم لت التت تيققت لت هذا المجالي وكيفيم لار الي لت الت ير واحلتزامات المترت م تقريرها ا ت ارضا لإلنجا ازت ع يهي لضةة ع عن القضةةايا الم اصةةرة والنا،ةةنم التت يت سن النجر لساا من أجف ضةةمان الي لت الت ير ل جمي ي لت الوقت الياضر ولت المستقبفة
The present report is submitted to the General Assembly pursuant to Human Rights Council resolutions 8/4 and 53/7. In the report, the Special Rapporteur on the right to education, Farida Shaheed, addresses the crucial role and rights of teachers, their contribution to the full realization of the right to education and the challenges that this presents.
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