Cette Convention a pour objet non seulement la lutte contre la discrimination dans le domaine de l'enseignement, mais aussi l'adoption de mesures visant à promouvoir l'égalité de chances et de traitement dans ce domaine. Elle s'inspire donc de deux principes fondamentaux distincts, qui figurent aussi bien dans l'Acte constitutif de l'Organisation que dans la Déclaration universelle des droits de l'homme dont les articles Z et 26 proscrivent toute forme de discrimination et visent à promouvoir le droit a l'éducation pour tous. Toutefois , la portée des engagements pris par les Etats varie selon qu'il s'agit de lutter contre la discrimination ou de promouvoir l'égalité des chances. En vertu de l'article 3 de la Convention, les Etats s'engagent à prendre des mesures immédiates en vue d'éliminer et de prévenir toute discrimination au sens de la Convention , d'empêcher les différences de traitement et d'interdire les préférences et les restrictions dans divers domaines

 

The second edition of the Global Education Monitoring Report (GEM Report) presents the latest evidence on global progress towards the education targets of the UN Sustainable Development Goals.

With hundreds of millions of people still not going to school, and many not achieving minimum skills at school, it is clear education systems are off track to achieve global goals. The marginalised currently bear the most consequences but also stand to benefit the most if policy-makers pay sufficient attention to their needs. Faced with these challenges, along with tight budgets and increased emphasis on results-oriented value for money, countries are searching for solutions. Increased accountability often tops the list.

The 2017/8 GEM Report shows the entire array of approaches to accountability in education. It ranges from countries unused to the concept, where violations of the right to education go unchallenged, to countries where accountability has become an end in itself instead of a means to inclusive, equitable and high-quality education and lifelong learning for all.

The report emphasises that education is a shared responsibility. While governments have primary responsibility, all actors – schools, teachers, parents, students, international organizations, private sector providers, civil society and the media – have a role in improving education systems. The report emphasises the importance of transparency and availability of information but urges caution in how data are used. It makes the case for avoiding accountability systems with a disproportionate focus on narrowly defined results and punitive sanctions. In an era of multiple accountability tools, the report provides clear evidence on those that are working and those that are not.

La Charte des droits fondamentaux de l'UE rassemble en un seul document les droits fondamentaux protégés dans l'UE. Elle a été proclamée en 2000 et est entrée en vigueur par le traité de Lisbonne en 2009.
 
Sa disposition sur le droit à l'éducation (article 14) inclut le droit à l'égalité d'accès à l'éducation et à la formation professionnelle ; elle protège le droit à l'enseignement obligatoire et la liberté de créer des établissements d'enseignement. La Charte de l'UE protège également les droits des enfants ; son article 32 interdit le travail des enfants et stipule que l'âge minimum d'admission à l'emploi ne doit pas être inférieur à l'âge de fin de scolarité obligatoire. En outre, la Charte de l'Union européenne protège la liberté académique (article 13) et comprend une clause de non-discrimination complète (article 21).