Of the 57 million children worldwide without access to education, over one third lives in settings of conflict and fragility (UNESCO, 2015). The escalating crisis in Syria has contributed significantly to this out-of-school population, with well over half of 1.4 million Syrian refugee children and adolescents not in school (UNICEF, 2016). While education in emergencies has risen as a policy priority in the mandates of international organizations (Menashy and Dryden-Peterson, 2015), the share of total overseas development assistance to education has declined sharply in recent years, with funding persistently low in conflict-affected states (UNESCO, 2015; 2016). Within this context, private sector engagement in education has become increasingly appealing to a growing portion of the international community. Private actors have responded in turn, spurring new initiatives, funding commitments and partnership arrangements to advance the cause of educating refugee children. Such commitments are indicative of the growing role of private entities as both educational funders and providers in contexts of crisis. This study explores the complex interrelationship between conflict and private sector participation through a case study of the education of Syrian refugees. It is estimated that 900,000 Syrian refugee children and adolescents are not enrolled in school, with enrolment rates for Syrian refugees at only 70% in Jordan, 40% in Lebanon, and 39% in Turkey (UNHCR, 2016b).  Although private engagement in this context is evidently expanding, the exact nature and scale of this involvement has been unclear. This research seeks to better understand which private entities are engaging in the sector, the activities through which private companies and foundations support education, and the rationales and motivations that drive their involvement.

General comment No. 20: Non-discrimination in economic, social and cultural rights (art. 2, para. 2, of the International Covenant on Economic, Social and Cultural Rights)

Key resource

This paper was commissioned by the Global Education Monitoring Report as background information to assist in drafting the 2019 GEM Report, Migration, displacement and education: Building bridges, not walls.

In 2017, there were an estimated 258 million people living outside their country of origin. Of them, about 30 million were school-aged. Migrants include different groups such as refugees, asylum seekers, migrant workers, stateless, undocumented migrants and internal displaced persons. The right to education of migrants, irrespective of their legal or migration status, is guaranteed under international law on the basis of the human rights principles of equality and non-discrimination. The main treaties guaranteeing the right to education apply to all migrants. In addition, migrant-specific treaties include provisions on the right to education. This international legal framework applies only to the extent that states have committed to it. At national level, migrants face legal and practical barriers to effectively enjoying their right to education. Some states show good examples of protecting the right to education of migrants in law and in practice.

 

Cette Observation générale 6 du Comité des droits de l'enfant interprète la Convention relative aux droits de l'enfant en ce qui concerne le traitement des enfants non accompagnés et séparés en dehors de leur pays d'origine. Les paragraphes 41 à 43 et 63 et 90 font référence au droit à l'éducation. 

 

Cette Observation générale 2 du Comité des travailleurs migrants interprète la Convention sur la protection de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille en ce qui concerne les  situations d'irrégularité migratoire. Les paragraphes 75 à 79 font référence au droit à l'éducation.

 

La Charte des droits fondamentaux de l'UE rassemble en un seul document les droits fondamentaux protégés dans l'UE. Elle a été proclamée en 2000 et est entrée en vigueur par le traité de Lisbonne en 2009.
 
Sa disposition sur le droit à l'éducation (article 14) inclut le droit à l'égalité d'accès à l'éducation et à la formation professionnelle ; elle protège le droit à l'enseignement obligatoire et la liberté de créer des établissements d'enseignement. La Charte de l'UE protège également les droits des enfants ; son article 32 interdit le travail des enfants et stipule que l'âge minimum d'admission à l'emploi ne doit pas être inférieur à l'âge de fin de scolarité obligatoire. En outre, la Charte de l'Union européenne protège la liberté académique (article 13) et comprend une clause de non-discrimination complète (article 21).
 
Le travail domestique est une occupation importante pour des millions d'individus. Les femmes constituent l'écrasante majorité de ces travailleurs.
 
Constatant l'omission de références expresses au travail domestique ou aux travailleurs domestiques dans un large éventail de cadres juridiques nationaux et internationaux, le Comité sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille a publié un commentaire général afin de fournir aux États des orientations sur la manière de mettre en œuvre leurs obligations au titre de la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille.
 
Les paragraphes 14, 57 et 59 font référence au droit à l'éducation.
 

Francis M. Deng, le Représentant du Secrétaire général des Nations unies pour les personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays (1992-2004), a élaboré ces lignes directrices en 1998. Il s'agit d'un ensemble de 30 recommandations qui définissent qui sont les déplacés internes, décrivent le vaste ensemble de lois internationales existantes qui protègent les droits fondamentaux des personnes, et décrivent la responsabilité des États. Bien qu'elles ne soient pas juridiquement contraignantes, elles constituent une norme minimale complète pour le traitement des personnes déplacées et sont appliquées par un nombre croissant d'États et d'institutions. Elles peuvent également contribuer à l'autonomisation des personnes déplacées en leur fournissant des informations sur leurs droits en tant que citoyens de leur propre pays. Le principe 23 concerne le droit à l'éducation. 

 
 

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