Brief shared at the Paris Peace Forum 2020 presented highlighting activities and achievements for the implemention of the Abidjan Principles since November 2019.
This paper aims to contribute to the discussions regarding the impacts privatisation process brings to the accomplishment of the right to education, taking the Brazilian reality as a reference.
The paper draws up a brief characterisation of the education provision in Brazil, in order to define the situation of educational services and the presence of private sector in the coverage of basic (early years, elementary and secondary education) and higher education schools. Next, it points out the main areas of privatisation of education in Brazil. At the end, it lists, from the analysis of the national context and researches conducted on this topic, the main tension points between the increasing privatisation process and the enjoyment of the human right to education, with reference to the contents of this right in the terms it was established in the General Comment 13.
At the end of 2019, at least 13.4 million school-age children (5-17 years old) were internally displaced due to conflict or violence. These numbers are likely an underestimate with many internally displaced children unaccounted for due to lack of data. The periods of internal displacement are becoming longer, with years becoming decades and internally displaced children spending the majority of their school-years displaced. The majority of these children do not have access to quality, safe and inclusive education due to discrimination, financial, legal, and insecurity barriers.
The five country case studies (Afghanistan, Colombia, Somalia, Syria Ukraine) in this report demonstrate that adopting legal and policy frameworks is not enough to uphold the right to education for internally displaced children. Challenges to implementing these policies are linked to institutional, financial, political, and cultural factors.
Les Droits de l’Homme exigent que les États assurent un accès égal à l'enseignement supérieur pour tous sans discrimination, et qu’ils garantissent la réalisation progressive du droit à l’enseignement supérieur gratuit. Malgré le fait que la France dépasse de nombreux pays de l'Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE) quant à certains indicateurs relatifs à l'enseignement supérieur, des problèmes importants y subsistent. Surtout concernant la garantie d’accès égal à tous et toutes à l'enseignement supérieur indifféremment de leur lieu d'origine. Les opportunités de formations ne sont pas égales pour les étudiant-es dans toutes les régions de France. Si une partie de cette inégalité peut être attribuée au statut socio-économique des étudiants, les différences entre régions doivent également être prises en compte. En effet, ces différences peuvent agir indépendamment du statut socio-économique et peuvent exacerber les inégalités créées par ce statut, en étant déterminantes dans la scolarisation de certains étudiants au sein de l'enseignement supérieur.
A travers cette note de positionnement, nous souhaitons démontrer que la répartition inégale des différentes formations de l’enseignement supérieur à travers le pays oblige les étudiant-es à se déplacer. La mobilité étudiante entraîne ainsi des frais (principalement ceux liés au logement et aux transports), qui sont plus difficiles à supporter pour les étudiant-es qui décident de déménager, notamment en raison de différences régionales de niveau de vie. Associés à la stagnation de l'allocation budgétaire consacré à l'enseignement supérieur et à l'augmentation générale des frais de scolarité, ces frais indirects de l'éducation constituent un obstacle important du droit à jouir d’un enseignement supérieur gratuit sur une base non discriminatoire.
L'enseignement public est souvent critique comme étant inefficace et inefficient. Cependant, lorsque des lacunes dans l'enseignement public sont identifiées, elles peuvent souvent être attribuées non pas à un manque de compétence, mais a un manque de volonté politique. En examinant sept exemples d'enseignement public dans les pays en développement, cette recherche montre que, contrairement aux idées reçues, l'enseignement public peut être l'approche la plus efficace, efficiente et transformatrice de l'éducation et, surtout, qu'il est possible de développer un enseignement public de qualité partout, y compris dans les pays du Sud.
La educación pública a menudo es criticada por ser ineficaz e ineficiente. Sin embargo, cuando se identifican las deficiencias en la educación pública, muy frecuentemente ellas no pueden ser atribuidas a la falta de capacidad, sino a la falta de voluntad política. Al revisar siete ejemplos de educación pública en países en desarrollo, esta investigación muestra que, en contraste directo con ideas ampliamente difundidas, la educación publica puede ser un abordaje mas eficaz, eficiente y transformador de la educación y - lo mas importante -, que es posible desarrollar una educación pública de calidad en todas partes del mundo.
When working on human rights issues, you should consider a person’s right to decide whether they want to be featured in written, recorded or audiovisual work.
It is an ethical consideration which protects individuals from exploitation. It is also a legal requirement: in many countries you cannot share, store or publish content if consent has not been obtained.
Public education is often critiqued as ineffective and inefficient. However, where shortcomings in public education are identified, they can often be attributed not to lack of capacity, but lack of political will. Reviewing seven examples of public education in developing countries, this research shows that, in direct contrast to widely disseminated ideas, public education can be the most effective, efficient, and transformative approach to education, and, crucially, it is possible to develop quality public education everywhere.
Les efforts, pour assurer une éducation inclusive et de qualité pour toutes et tous, ont suscité des appels en faveur d’un engagement plus important du secteur privé, affirmant que les entreprises et les fondations peuvent jouer un rôle important en tant que partenaires dans la réalisation de l’Objectif de Développement Durable n° 4 (ODD 4).
Ces dernières années, compte tenu de l’insuffisance des financements publics et de la nécessité d’intervenir en urgence, les acteurs privés se sont de plus en plus impliqués dans divers aspects des programmes éducatifs, pour l’éducation dans les situations d’urgence (ESU). Toutefois, cet arrangement peut engendrer des tensions entre l’engagement du secteur privé et la réponse humanitaire dans le domaine de l’éducation, ce qui doit être pris en compte et nécessite à son tour une coordination, un plaidoyer et une attention supplémentaires. Ce document explore certaines des tensions et fait des recommandations, pour soutenir la priorisation d’une éducation publique sûre, équitable et de qualité, pour tous les enfants et les jeunes touchés par des crises.
L’INEE soutient le droit à l’éducation de chaque jeune, et reconnaît l’État comme principal responsable de la scolarisation, conformément aux déclarations, cadres et instruments juridiques internationaux, qui affirment et protègent le droit à l’éducation (voir encadré sur les instruments juridiques, qui protègent le droit à l’éducation).
Las iniciativas que buscan garantizar una educación inclusiva y equitativa para todos han generado peticiones para una mayor involucramiento del sector privado, afirmando que las empresas y las fundaciones pueden jugar un papel importante como socios para alcanzar el Objetivo de Desarrollo Sostenible 4 (ODS4).
En los últimos años, debido a la falta de financiamiento público y a la necesidad de respuestas urgentes, ha crecido la participación del sector privado en diversos aspectos de la programación educativa para la educación en situaciones de emergencia (EeE). Esta forma de trabajar, sin embargo, puede causar tensiones entre la participación del sector privado y la respuesta humanitaria en materia de educación. Es necesario resolver estas tensiones, lo cual requiere una mayor coordinación, abogacía y atención. Este informe explora algunas de estas tensiones y ofrece recomendaciones para apoyar la priorización de una educación pública segura, equitativa y de calidad para todos los niños, niñas y jóvenes afectados por crisis.
La INEE apoya el derecho que tienen todas las personas jóvenes a la educación y reconoce al Estado como el principal responsable de la escolarización, en línea con declaraciones, marcos e instrumentos legales internacionales que reconocen y protegen el derecho a la educación (véase el recuadro sobre los instrumentos legales que protegen el derecho a la educación).